Personnellement cela ne m’intéresse pas du tout de vous parler du Costa Rica.
Comme s'il n'y avait qu'un seul Costa Rica ...
Surtout, d'autres que moi font cela bien mieux.
Voyez par exemple Wikipedia, le bon vieux Routard, le Petit Futé et autres Lonely Planet.
Ce dont j’ai envie, c'est plutôt de vous parler de MON COSTA RICA à MOI.
Celui que moi-même et ma famille vivons au jour le jour, a lo largo de la manera (chemin faisant), con el tiempo (au fil du temps).
Pays parfois merveilleux, souvent quand on y pense, d'autres fois horripilant, un peu comme la vie en général. En un peu mieux ...
Je vais essayer de vous le présenter, sans prétention, façon BLOG.
Pas de stress, on écrira au fils du temps, quand nous aurons le temps ... Pura Vida ...
@ bientôt,
15% pour Standard&Poor's :
L'agence de notation table sur une chute de 15% d'ici à la fin 2013 sur le parc résidentiel français. Les prix reviendraient ainsi à leur niveau de début 2009, a estimé jeudi l'agence d'évaluation financière Standard & Poor's (S&P). "Si l'expérience passée en la matière se confirme, le marché français approche de son point de correction", a estimé S&P dans un communiqué. "Phénomène unique en Europe, le marché immobilier français a poursuivi sa hausse pendant près de 5 ans, malgré une brève correction à la suite de la crise financière de 2007-2008 et en 2011, les prix ont atteint des niveaux record grâce à la capacité d'emprunt des ménages", a relevé l'agence. Mais ce modèle tire à sa fin, selon S&P. La capacité d'emprunt des ménages français - qui intègre le revenu disponible, les taux d'intérêt et la durée des prêts - a chuté de 7% environ entre septembre 2007 et mars 2009. En conséquence, les experts de l'agence de notation s'attendent à une baisse de la capacité d'emprunt d'ampleur comparable, voire plus importante si les taux d'intérêt augmentent. Par ailleurs, l'agence anticipe une contraction de l'octroi de nouveaux crédits à l'immobilier qui "pourrait atteindre 20% en 2012 comparé à 2011". De quoi alimenter le repli des prix de la pierre dans le pays.
5 à 10% pour les notaires :
Les notaires excluent l'hypothèse d'une forte baisse et privilégient un simple atterrissage en douceur. "2012 sera une année de correction et d'assagissement des prix", résume ainsi Pierre Bazaille, président du marché immobilier des notaires. Pour l'ensemble de l'année, ils s'attendent à une baisse de 5% dans les zones les plus tendues en terme d'offre comme Paris et certaines métropoles régionales. Sur le reste du territoire, ils anticipent une baisse "plus ou moins accentuée", de 5 à 10% selon les zones. "Nous devrions terminer 2012 aux environs de - 5 % à Paris, dans les villes dynamiques de province et dans les zones côtières du littoral. Ailleurs, la baisse pourrait être plus proche de - 10 %", estime Me Pierre Bazaille. Mais, ces prévisions pourraient être bousculées "en cas de crise sévère accompagnée d'une montée des taux, les prix pourraient alors baisser de 10 % à 20 % en France".
Pas plus de 5% pour les agences immobilières :
Confrontées à une chute des transactions, les agences immobilières tablent sur "une baisse de 15% à 20% sur l'ensemble de 2012", a déclaré René Pallincourt, le président de la Fédération nationale de l'immobilier (Fnaim). Mais "il est exclu qu'il y ait une diminution des prix supérieure à 5%".
Même son de cloche du côté du réseau d'agences concurrent Century 21. Pour l'ensemble de l'année 2012 le président de Century 21 Laurent Vimont table sur une baisse de 15% à 20%, par rapport à 2011, de l'ensemble du marché des transactions de logements anciens mais parie sur un maintien des prix au même niveau qu'en 2011. "On sort de la frénésie et on revient à la raison. Mais la baisse n'est pas durable car la demande est forte", affirme à l'AFP M.Vimont.
Commentaire CRI :
Oublions la Fnaim qui n’est plus crédible depuis longtemps. Nous retenons donc (hors micromarchés) une fourchette de 10 à 15 % de baisse des prix de l’immobilier résidentiel en France en 2012.
Une fois de plus, nous recevons ici au Costa Rica de plus en plus de gens qui sont durablement bloqués dans leurs projets d'avenir car ils surestiment la valeur de leurs biens en France. Il n’est pas rare de constater des différences de 40 % entre le prix demandé et le prix du marché actuel.
Dans ces cas, les chances de vendre sont égale à zéro et de plus, le risque est grand de griller pour longtemps le bien. Et par la suite, même brutalement revu à la baisse, il ne se vendra pas.
Si vous souhaitez vendre pour partir vivre hors de France, à l’étranger, au Costa Rica par exemple, calez-vous sur le prix du marché, voire un peu en dessous. Si vous ne savez pas quel prix annoncer, faites appel à des professionnels qui sauront estimer la vraie valeur de votre maison / appartement.