Personnellement cela ne m’intéresse pas du tout de vous parler du Costa Rica.
Comme s'il n'y avait qu'un seul Costa Rica ...
Surtout, d'autres que moi font cela bien mieux.
Voyez par exemple Wikipedia, le bon vieux Routard, le Petit Futé et autres Lonely Planet.
Ce dont j’ai envie, c'est plutôt de vous parler de MON COSTA RICA à MOI.
Celui que moi-même et ma famille vivons au jour le jour, a lo largo de la manera (chemin faisant), con el tiempo (au fil du temps).
Pays parfois merveilleux, souvent quand on y pense, d'autres fois horripilant, un peu comme la vie en général. En un peu mieux ...
Je vais essayer de vous le présenter, sans prétention, façon BLOG.
Pas de stress, on écrira au fils du temps, quand nous aurons le temps ... Pura Vida ...
@ bientôt,
Les particuliers anxieux face à l'instabilité du système financier préfèrent garder une partie de leurs économies chez eux, plutôt qu'à la banque. A l'heure où certains envisagent la possible sortie de la Grèce de la zone euro, le stress se fait sentir non seulement sur les marchés financiers mais aussi auprès des particuliers et petits commerçants. En Grèce mais aussi en Espagne, de plus en plus de particuliers retirent leurs économies pour les placer sous le matelas.
En septembre 2011, un sondage IFOP pour le JDD.fr révélait que 48 % des Français «doutent de la résistance des banques face à la crise financière». Cette inquiétude se traduit par une forte progression des achats de coffres-forts . «Nos ventes ont augmenté de 54 % au premier trimestre 2012 par rapport à 2011, et nous attendons un nouveau rebond dès ces jours-ci» confie Nicolas Risterucci, responsable commercial chez Hexacoffre.com. Les ventes de l'enseigne avait déjà connu une augmentation de 77 % en 2011. Du coté des fabricants, même son de cloche: «Notre chiffre d'affaires connaît une augmentation de 30 % au premier trimestre de cette année, après avoir déjà progressé de 15 à 20 % l'an dernier sur la même période» confirme Yann Jubault de chez Hartmann Tresore. En Grèce aussi, les ventes de coffres-forts ont bondi de 40 % sur deux ans.
Outre les clients habituels - bijoutiers, mairies et buralistes - les revendeurs de coffres-forts en vendent de plus en plus aux particuliers et petits commerçants. «Notre clientèle est désormais composée à 40 % de particuliers» témoigne Yann Jubault. Les produits les plus vendus coûtent entre 500 et 2.000 euros. Pour un prix d'entrée de gamme, on peut acquérir un coffre-fort cubique agréé d'un volume de 40 cm3, livraison et installation à domicile comprise. Les revendeurs conseillent de choisir un coffre-fort agréé qui permet d'assurer son contenu, plutôt qu'un «coffre de sûreté» vendu en grands magasins de bricolage, certes moins cher mais nettement moins sûr. «Il est préférable de choisir un coffre-fort à verrouillage numérique plutôt qu'à clef» poursuit Yann Jubault.
Sinon, il reste la solution de la location d'un coffre au sein d'une banque. Contrairement aux liquidités, le contenu des coffres-forts loués est considéré comme une location privée et n'est donc pas saisissable en cas de faillite de la banque. Les tarifs varient en fonction du volume du coffre et de l'établissement. La crise n'est peut être pas la seule à provoquer ce regain d'activité. À chaque échéance présidentielle, les experts constatent une hausse des ventes de coffres-forts. Et ce quel que soit le parti qui accède au pouvoir.
Commentaire CRI :
Contrairement à ce qui est dit précédemment le dernier endroit où laisser des valeurs en cas de crise grave est le coffre-fort d’une banque. En effet, il y a fort à parier que les gens se rueraient sur les banques pour retirer du cash et que celles-ci, sous la pression des foules, ne tarderaient pas à fermer leurs portes pour un temps indéterminé. Cela s’est récemment passé en Argentine et en Russie, 2 crises récentes et graves dans des pays très comparables aux nôtres. Se croire à l’abri de ce genre de mésaventure est une erreur de jugement majeure.
En cas de crise avérée, en quelques heures, moins de 4 généralement, les supermarchés sont vides et les banques ne tardent pas à tirer le rideau.
Pour nous, mieux que le coffre, en ces temps où l’argent peine à conserver sa valeur, il y a l’achat de terres au Costa Rica. Des grands terrains de plusieurs hectares, bien placés, faiblement imposés. Un terrain ne se vole pas, ne part pas en fumée, n’attire pas l’attention, nécessite très peu de soin et constitue même un ultime refuge en cas de besoin. @ méditer …