Personnellement cela ne m’intéresse pas du tout de vous parler du Costa Rica.
Comme s'il n'y avait qu'un seul Costa Rica ...
Surtout, d'autres que moi font cela bien mieux.
Voyez par exemple Wikipedia, le bon vieux Routard, le Petit Futé et autres Lonely Planet.
Ce dont j’ai envie, c'est plutôt de vous parler de MON COSTA RICA à MOI.
Celui que moi-même et ma famille vivons au jour le jour, a lo largo de la manera (chemin faisant), con el tiempo (au fil du temps).
Pays parfois merveilleux, souvent quand on y pense, d'autres fois horripilant, un peu comme la vie en général. En un peu mieux ...
Je vais essayer de vous le présenter, sans prétention, façon BLOG.
Pas de stress, on écrira au fils du temps, quand nous aurons le temps ... Pura Vida ...
@ bientôt,
Après d'ultimes arbitrages, le gouvernement français a annoncé mercredi que son plan de "redressement dans la justice" des finances publiques passait dès cette année par 7,2 milliards d'euros de hausses d'impôts et 1,5 milliard de gel supplémentaire des dépenses. "Il y a bien une ardoise cachée que nous devons honorer pour respecter l'objectif d'un retour des déficits publics à 4,5% du PIB" fin 2012, a fait valoir devant la presse le ministre délégué au Budget Jérôme Cahuzac. "C'est d'une France affaiblie sur le plan économique dont nous héritons", a renchéri le titulaire des Finances Pierre Moscovici lors de la présentation d'un "collectif budgétaire" qui doit corriger le budget 2012 voté par l'ancienne majorité. La potion est amère : ménages et entreprises paieront dès cette année 7,2 milliards d'euros, en plus, a souligné Jérôme Cahuzac, des 15 milliards déjà votés par la droite avant la présidentielle. Ce qui fait en tout 22 milliards de hausses d'impôts pour la seule année 2012. |
Jean-Marc Ayrault met la main au |
Les mesures annoncées mercredi rapporteront en outre 6,1 milliards d'euros de recettes supplémentaires l'an prochain. Il s'agit de compenser "un certain nombre de recettes surestimées" par le gouvernement précédent.
Pour autant, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a refusé de recourir aux mots "rigueur" et encore davantage "austérité", à laquelle il est "foncièrement hostile" pour qualifier les mesures gouvernementales, appelant à ne "pas jouer tout le temps sur les mots", mercredi soir au 20H de TF1.
Le plus dur reste à venir.
L'ardoise dénoncée par le gouvernement et la révision des prévisions de croissance, abaissées à 0,3% pour 2012 et 1,2% pour 2013, ont néanmoins des conséquences immédiates.
La première sera un tour de vis supplémentaire sur les dépenses publiques dont la progression doit être limitée à 0,8% par an en volume sur l'ensemble du quinquennat alors que le programme du candidat François Hollande était bâti sur une hausse de 1,1%.
Quant à l'effort fiscal réclamé aux entreprises et aux particuliers, il sollicitera en premier lieu "les ménages les plus aisés et les grandes entreprises" dans un esprit "d'équité" et de "justice", a assuré Pierre Moscovici.
La droite a contesté cette présentation. "L'essentiel de vos ajustements porte sur les ménages et les familles modestes", a lancé aux ministres, à l'Assemblée, le député UMP Laurent Wauquiez, déplorant notamment la fin de l'exonération de cotisations sociales pour les heures supplémentaires.
Jean-Marc Ayrault a indiqué en soirée qu'il "assumait" cette suppression de la défiscalisation des heures supplémentaires, car cette mesure décourage "l'emploi", la "priorité" du gouvernement.
Le patronat a aussi protesté contre des mesures qui pénalisent, selon lui, la compétitivité des entreprises.
Concentrées sur 2012 et 2013, les hausses d'impôts pèseront cette année à peu près à parts égales sur les ménages et les entreprises, selon le gouvernement.
Une des mesures les plus emblématiques est une surtaxe "exceptionnelle" exigée des redevables de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), rapportant à elle seule 2,3 milliards d'euros en 2012, avant un relèvement "pérenne" de ce prélèvement l'an prochain. Comme annoncé, la fiscalité sera alourdie sur les grosses successions et les donations.
Parmi les mesures qui referment définitivement l'ère Sarkozy, la "TVA sociale" sera abrogée avant d'avoir vu le jour. L'ancien ministre du Budget Eric Woerth a dénoncé un texte "idéologique, très anti-sarkozyste".
Plusieurs autres dispositifs visent les entreprises, dont le relèvement du forfait social sur l'épargne salariale ou encore une anticipation du versement de la contribution exceptionnelle pour les plus grandes d'entre elles. Des taxes spéciales frappent aussi les secteurs bancaire et pétrolier. Conséquence possible pour les automobilistes: une augmentation du prix des carburants d'un centime par litre à la pompe.
Comme prévu aussi, les dividendes distribués aux actionnaires seront dorénavant taxés à hauteur de 3%. La taxation des stock-options et des distributions d'actions gratuites est aussi renforcée.
Mais le plus dur reste à venir : l'effort pour ramener le déficit public à 3% en 2013 sera de 33 milliards, selon la Cour des comptes. Le gouvernement a déjà commencé à resserrer les boulons de la dépense, et complètera à l'automne sa réforme fiscale. L'addition pourrait encore s'alourdir, Bercy laissant planer la possibilité d'une augmentation de la CSG en 2013.
Commentaire CRI :
Un long moment d’absence pour cause de surcroît de La bonne nouvelle de ce mercredi 4 juillet 2012 c’est que tout se passe absolument comme nous l’avions prévu.
Le gouvernement français découvre soudainement une « ardoise cachée » de quelques milliards d’euros. A ce niveau là, ce n’est plus de l’ardoise, c’est la carrière toute entière. Comme quoi, en France, quand on cherche on trouve encore de la matière première, suffit de creuser un peu. Et en creusant encore un peu on finira bien par trouver du pétrole. Car c'est bien connu, on a des idées en France pour trouver de nouveaux impôts et taxes. On a même créé une école spéciale pour cela, elle s'appelle LENA. Par ailleurs, j’adore l’expression « surtaxe exceptionnelle ». Déjà « taxe » ce n’est pas beau comme mot, « surtaxe » encore moins et quand en plus ça devient « exceptionnel » alors là on donne carrément dans le grandiose. A quand la « sur-surtaxe exceptionnelle d’exception » ? Et tout ça tout ça en attendant l’augmentation de la CSG pour 2013. La CSG c’est un peu comme Google, on fait +1 de temps en temps pour montrer combien on apprécie.
Question : la CSG peut-elle un jour dépasser 100 % ?
Plussoyez Mesdames et Messieurs, on est encore loin du but … |
TAXES est un bon mot à sortir au |