Personnellement cela ne m’intéresse pas du tout de vous parler du Costa Rica.
Comme s'il n'y avait qu'un seul Costa Rica ...
Surtout, d'autres que moi font cela bien mieux.
Voyez par exemple Wikipedia, le bon vieux Routard, le Petit Futé et autres Lonely Planet.
Ce dont j’ai envie, c'est plutôt de vous parler de MON COSTA RICA à MOI.
Celui que moi-même et ma famille vivons au jour le jour, a lo largo de la manera (chemin faisant), con el tiempo (au fil du temps).
Pays parfois merveilleux, souvent quand on y pense, d'autres fois horripilant, un peu comme la vie en général. En un peu mieux ...
Je vais essayer de vous le présenter, sans prétention, façon BLOG.
Pas de stress, on écrira au fils du temps, quand nous aurons le temps ... Pura Vida ...
@ bientôt,
Qui ne dit mot consent. Le ministre de l'Économie, Pierre Moscovici et son collègue du Budget, Jérôme Cahuzac, n'ont récemment pas démenti un projet de hausse de la Contribution sociale généralisée (CSG). Or, selon un conseiller de l'Élysée cité par le Canard Enchaîné ce mercredi, «une hausse de la CSG est inévitable, l'an prochain, mais ce n'est pas le moment de l'annoncer».
L'hebdomadaire satirique précise que Bercy planche depuis une semaine sur une hausse de cette taxe comprise entre 2 et 4 points. L'ampleur de cette hausse dépendrait des prévisions de croissance de l'État. Si l'estimation d'un taux de croissance de 1,4% en 2013 est maintenue, la hausse serait de 2 points mais si les perspectives se dégradent, l'augmentation pourrait être supérieure.
Un point de CSG en plus rapporte 11 milliards.
Une telle augmentation pourrait en tout cas assainir les finances de la Sécurité sociale puisque un point de CSG en plus sur tous les revenus (d'activité, indemnisation chômage, retraites, revenus du patrimoine et de placements) rapporte près de 11 milliards d'euros.
Outre le gouvernement, la CFDT serait favorable à une hausse de la CSG. De fait, le secrétaire général de la CFDT, François Chérèque, s'est récemment dit pour un basculement «d'une partie du financement de la protection sociale sur la CSG». «Le constat, c'est que malheureusement le financement de la protection sociale porte quasiment uniquement sur le travail alors que de nombreux autres revenus, autres que le travail, ne financent pas la protection sociale, revenus du capital et du patrimoine», a-t-il noté.
Mais d'autres acteurs pointent l'inégalité de cet impôt qui, contrairement à l'impôt sur le revenu, est un prélèvement proportionnel. L'économiste Jacques Attali avait jadis déclaré: «Avec la CSG, la gauche a trouvé le moyen d'inventer une fiscalité injuste».
Commentaire CRI :J’en parlais justement ici il y a quelques jours …
Piqure de rappel :
Jacques Attali disait naguère "Avec la CSG, la gauche a trouvé le moyen d’inventer une fiscalité injuste". Jacques a dit qui n’est pas mon ami ne dit pas pour autant que des conneries. Il dit parfois certaines vérités pour mieux faire passer par ailleurs ses aberrations économiques. Noyez vos gros mensonges dans un océan de vérités et ils passeront inaperçus …
La CSG est un impôt injuste par nature et qui trop le montera les foudres du peuple s’attirera ! Cette fois c'est moi qui le dit et on en reparlera avant la fin du mandat de Normal 1er.
De toute façon, prendre à la base une partie de ce que les gens ou le capital gagne est une aberration économique. Pensez au nombre de gens qui vous paient, à ceux qui vous dépaient (je viens d’inventer le verbe dépayer, 1er groupe), à ceux qui contrôlent, ceux qui contrôlent ceux qui contrôlent, ceux qui rectifient, redressent, remboursent, … Des dizaines de milliers d’emplois, des centaines de milliers sans doute parfaitement inutiles et improductifs qui seraient bien mieux déployés dans d’autres secteurs de l’activité économique et sociale.
J’entends souvent les gens, « de gôche » surtout, affirmer sans réfléchir que la TVA est un impôt injuste. Or rien n’est plus faux.
Non seulement c'est un impôt juste (pour autant qu'un impôt puisse être juste) et aussi un impôt très intelligent :
En établissant par exemple un taux de TVA de 1 à 33 %, voire plus, pourquoi pas selon la nature et la nécessité des produits achetés, d’une part tout le monde paierait l’impôt et d’autre part les plus riches d’entre nous, consommant plus et moins basique paieraient forcément beaucoup plus. Une taxation majorée pour les produits de luxe a d'ailleurs déjà été appliquée entre 1968 et 1992.
Dans ce cas malheureusement, le caviar serait taxé à 33 % ce qui forcément, ne plairait pas à « la gôche » du même nom.
Sinon, plus rentable, il reste à taxer la connerie ambiante ... mais cela ne résout pas tout. En effet, que fera-t-on des excédents ?