Mon Costa Rica à moi ... Vivre au Costa Rica ... BLOG Costa Rica ...

Grenouille transat BLOGPersonnellement cela ne m’intéresse pas du tout de vous parler du Costa Rica.
Comme s'il n'y avait qu'un seul Costa Rica ...

Surtout, d'autres que moi font cela bien mieux.
Voyez par exemple Wikipedia, le bon vieux Routard, le Petit Futé et autres Lonely Planet.

Ce dont j’ai envie, c'est plutôt de vous parler de MON COSTA RICA à MOI.
Celui que moi-même et ma famille vivons au jour le jour, a lo largo de la manera (chemin faisant), con el tiempo (au fil du temps).
Pays parfois merveilleux, souvent quand on y pense, d'autres fois horripilant, un peu comme la vie en général. En un peu mieux ...
Je vais essayer de vous le présenter, sans prétention, façon BLOG.

Pas de stress, on écrira au fils du temps, quand nous aurons le temps ... Pura Vida ...

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N° 47 - Rats des villes et rats des champs : adaptez votre patrimoine à la future crise monétaire. Par Charles Sannat.
Publie le : 31/10/2012 - Source : Protection & Rendements

Un pessimiste est un optimiste bien informé. Voilà je trouve un excellent résumé de ce qui doit animer chacun d’entre nous dans sa gestion patrimoniale.
Le monde pour de très nombreuses raisons traverse la plus grave crise économique de toute l’histoire mondiale. Soyons lucides.

La prochaine étape : la crise monétaire

La crise monétaire à venirIl n’y a et il n’y aura aucune façon indolore ou facile de sortir de cette crise économique. Au bout du chemin, il n’y aura aucun mystère et le règlement de cette crise sera inévitablement monétaire. Simone Wapler a su montrer et démontrer d’ailleurs qu’à ce sujet, les grandes manoeuvres avaient déjà commencé depuis bien longtemps.

Pour la majorité des gens, il est assez facile de se protéger d’une crise financière et boursière. Il suffit de ne pas avoir d’actions, ou alors d’en détenir un pourcentage relativement faible de son patrimoine.

Pour la majorité des gens, éviter une crise bancaire est envisageable. Surtout en restant dans de grandes banques, de taille “systémique” comme on dit désormais, qui seront toujours sauvées par le contribuable. Tant que votre banque ne fait pas faillite, votre argent est sauvé.

Pour la majorité des gens, on peut éviter une crise économique. Plus ou moins certes, mais dans un pays comme la France, avec ses amortisseurs sociaux - c’est-à-dire l’indemnisation du chômage par exemple -, la crise est restée jusqu’à maintenant plutôt virtuelle pour tous ceux qui ont pu conserver leur emploi.

Ce qui est certain, et vous l’aurez deviné, c’est que personne ne peut éviter une crise monétaire, pour la simple et bonne raison que l’ensemble de vos avoirs, de vos actifs, sont exprimés en monnaie. Si la monnaie a un problème, tout le monde a un problème.
C’est parce que la prochaine étape sera la résolution monétaire des choses que nous plaidons encore et toujours auprès de nos lecteurs pour qu’ils prennent conscience de la nécessité de surpondérer les actifs tangibles dans leur patrimoine.

Votre impératif : accorder plus de place dans votre patrimoine aux actifs tangibles

Disons-le clairement, les actifs tangibles ne sont pas très nombreux.

L’or et l’argent

Il y a bien sûr les métaux précieux. L’or et l’argent. Je ne peux que conseiller d’en posséder. Il convient de s’intéresser tout particulièrement aux pièces d’or et aux pièces d’argent qui dans le domaine de l’investissement en or : elles vous donneront les meilleures performances grâce au phénomène de prime. Evitez les lingots qui ne sont pas fractionnables et qui vaudront toujours le prix d’un kilo d’or. Les pièces, elles, vaudront plus que leur poids en or.
Cependant, un patrimoine ne peut être exclusivement composé d’or, surtout si les sommes à placer sont importantes.

L’immobilier

L’immobilier à usage de placement locatif est à fuir. N’oubliez pas qu’avec le massacre fiscal en cours l’immobilier est la proie rêvée pour la créativité fiscale de notre gouvernement. L’immobilier ne se délocalise pas. A moins de le revendre et de vous acquitter des taxes ici, vous ne partirez jamais avec votre studio en Belgique, sauf si vous avez acheté un mobil-home

La résidence principale, je la mets à part. En effet, elle vous rapporte quelque chose d’essentiel, sa valeur d’usage. On vit dans son appartement ou dans sa maison. On ne vit pas dans ses lingots ou dans son contrat d’assurance-vie.

Mieux vaut avoir un appartement acheté très cher au plus haut de la bulle immobilière mondiale la plus importante de tous les temps, que de continuer à conserver des obligations d’Etats en faillite dans son contrat d’assurance-vie. L’idée n’est pas de vous faire acheter de l’immobilier. Il est trop cher actuellement et la baisse à venir sera très forte. Mais il vaut mieux détenir un bien dans lequel on vit qu’un tas de créances pourries sur des Etats moisis. C’est donc une question d’arbitrage.

La résidence secondaire doit aussi être traitée de façon spécifique. Si elle dispose d’un bon poêle à bois, d’un superbe potager, d’un poulailler, idéalement d’un puits avec de l’eau potable, que vous l’équipez de quelques panneaux solaires … et que vous garnissez le tout de quelques réserves bien pensées de boîtes de conserves… vous pourriez vous sentir extrêmement heureux le jour où la crise monétaire surviendra. C’est donc une alternative de diversification qui peut être utile si les choses devaient mal tourner …

Terres agricoles et forêt

Il y a quelques mois, la patronne du fonds d’Harvard (l’université américaine), qui gère un trésor de guerre de plus de 32 milliards de dollars, a souhaité diversifier ses actifs en achetant ni plus ni moins que 172.000 hectares de forêts - ce qui fait somme toute une propriété de taille confortable !

Que fait Harvard avec 172.000 hectares de forêts ? Eh bien d’une part, ils diversifient leurs avoirs dans des actifs tangibles et d’autre part privilégient un placement qui peut apporter un rendement (la coupe de bois rapporte de l’argent chaque année). Mais surtout, surtout, dans un monde de raréfaction des ressources, ils investissent pour le long terme. Le très long terme. Il n’y a rien de plus tangible qu’une forêt ou qu’une exploitation agricole. Soit dit en passant, chaque être humain ayant besoin de s’alimenter et de se chauffer … nous parlons là du besoin primaire numéro 1 pour toute existence digne.

Si vous ne pouvez pas vous payer 172.000 hectares, ce qui est compréhensible, rien ne vous interdit d’investir dans les forêts ou terres agricoles. Vous pouvez aussi acheter des parts de groupements fonciers agricoles ou forestiers.

Ne vous trompez pas d’ennemi : pensez stratégie avant fiscalité

Vous l’aurez compris, vous devriez mettre au coeur de vos préoccupations et de votre stratégie non pas les aspects fiscaux (qui contrairement à ce que l’on pense ne sont que de peu d’intérêt) mais le développement prochain de cette crise. Non, ce qui va peser sur votre patrimoine sera la crise monétaire. Il ne faut pas se tromper d’ennemi, même si les impôts vous exaspèrent.

Seuls les actifs tangibles, c’est-à-dire “hors monnaie”, vous permettront de sauver les meubles.

Le patrimoine idéal doit donc aujourd’hui tourner autour d’une résidence principale de qualité vous permettant d’affronter un choc économique majeur. Des métaux précieux sous forme de pièces d’or et d’argent. Et enfin, pour les sommes les plus importantes, de terres agricoles, sylvicoles ou de forêts qui seront certainement avec l’or les meilleurs placements des 30 prochaines années. La terre n’est pas nécessairement située en France.

Les réserves de cash doivent être réduites à leur minimum ou assurées par un montant au moins identique en or (si vous détenez 10.000 euros à la banque, il faut 10.000 euros d’or).

Dans ces conditions, votre patrimoine passera la crise monétaire à venir, et vous pourrez aborder sereinement le monde d’après.

Si vous n’avez pas les moyens de faire tout cela … pensez sérieusement à quitter les villes, à rejoindre les campagnes. C’est exactement ce que font les Grecs avec quatre ans d’avance sur nous. 60 % des habitants des villes souhaitent partir à la campagne. Il ne faudra pas le faire lorsqu’il sera trop tard. C’est un peu l’histoire du rat des villes et du rat des champs que l’on raconte à nos enfants.

Comme le disait Winston Churchill, “il vaut mieux prendre le changement par la main avant qu’il ne nous prenne par le cou”.

Le monde change. La gestion de votre patrimoine doit aussi changer. Il n’y a que comme cela que vous pourrez vous préparer au monde d’après.

Commentaire CRI :

Oui, le monde d’après … C’est notamment parce nous souhaitons y entrer dans de bonnes conditions que nous sommes venus nous installer au Costa Rica. Et parce que la « France d’aujourd’hui » n’est plus vraiment la France et pourtant nous ne sommes pas si vieux … beaucoup de dégâts donc, en si peu de temps !

Aucune nostalgie là-dedans, pas le genre de la maison, juste la volonté de ne pas sombrer par impuissance, par impossibilité de faire quelque chose.

Si vous lisez ces chroniques ou bien les sites de réinformation dont le nombre explose sur le Net - les gens en ayant assez d’être pris pour des jambons par les médias officiels - vous avez déjà compris qu’il ne faut pas écouter le chant des sirènes. Car le bateau prend l’eau de partout et va rester un moment entre 2 eaux avant de couler. Place maintenant au chant du cygne, c’était bien, c’était vraiment bien mais c’est fini, terminé !

Le rat des ville et le rat des champs au Costa RicaNous n’allons pas nous étendre sur l’or et l’argent, ce n’est pas notre business, sauf pour vous dire que partout dans le monde, je dis bien partout y compris dans les petites villes du Costa Rica (Santa Cruz / Guanacaste par exemple) de minuscules officines rachètent l’or des particuliers. Derrière ces opérations de rachats massifs, se cache certainement quelque chose d’ÉNORME à venir. Un pays, des pays, des systèmes financiers achèteraient-ils tout l’or et l’argent disponible de la planète en vue de l’écroulement monétaire à venir ? Car après l’écroulement annoncé il faudra bien créer un autre système monétaire, plus solide, plus fiable que celui d'aujourd'hui, à l'agonie. Par conséquent un système adossé à des garanties tangibles et non à de la dette comme aujourd'hui … vous commencez à comprendre ? Hypothèse à garder en mémoire, elle pourrait en effet se confirmer plus tôt que prévu.

Charles Sannat nous dit que l’immobilier locatif est à fuir. Avis partagé, nous avons déjà évoqué le sujet précédemment. L’un des derniers vecteurs, à priori sûr, de conservation et de valorisation de pouvoir d’achat reste la fameuse « assurance-vie ». Et pourtant … et pourtant … avis de tempête force 10 à venir sur l’assurance-vie. Groupama par exemple est-il en faillite ? Et nous pourrions citer d’autres groupes de « banque-assurance » (quel vilain mot !) dans le même cas et non des moindres. Quand je pense que la majorité d’entre vous pense que leurs actifs chéris sont en sécurité dans ce type de support-papier, j’en ai le vertige ! Et c’est sans compter sur l’appétit vorace du gouvernement de la France (en faillite elle aussi) qui salive déjà sur les près de 1.400 milliards d’euros placés en AV.
Immobilier locatif et assurance-vie, 2 placements qui ont vécu, « Ça eu payé » comme disait Fernand Raynaud.

Alors OUI, 10 fois OUI, il nous reste l’immobilier et les terres agricoles pour traverser les turbulences à venir de façon plus confortable. L’immobilier au Costa Rica est faiblement taxé ce qui en fait un vrai placement et non un placement qui s’érode au fil du temps, taxes obligent. Que ce soit pour la résidence principale, la résidence secondaire ou bien l’achat de terres (agricoles ou pour lotir).
Le must étant la terre agricole de rendement, voyez notre offre sur l’huile de palme.

Allez, salut les rats, à plus tard, à la ville ou bien aux champs, on assure !




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