Mon Costa Rica à moi ... Vivre au Costa Rica ... BLOG Costa Rica ...

Grenouille transat BLOGPersonnellement cela ne m’intéresse pas du tout de vous parler du Costa Rica.
Comme s'il n'y avait qu'un seul Costa Rica ...

Surtout, d'autres que moi font cela bien mieux.
Voyez par exemple Wikipedia, le bon vieux Routard, le Petit Futé et autres Lonely Planet.

Ce dont j’ai envie, c'est plutôt de vous parler de MON COSTA RICA à MOI.
Celui que moi-même et ma famille vivons au jour le jour, a lo largo de la manera (chemin faisant), con el tiempo (au fil du temps).
Pays parfois merveilleux, souvent quand on y pense, d'autres fois horripilant, un peu comme la vie en général. En un peu mieux ...
Je vais essayer de vous le présenter, sans prétention, façon BLOG.

Pas de stress, on écrira au fils du temps, quand nous aurons le temps ... Pura Vida ...

@ bientôt,


L'Actualité du jour

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N° 111 - 23/08/2020 - Comment attraper le COVID 19 avant même qu’il n’existe officiellement ? Un exploit ! Et n’en tirer aucune fierté pour autant !!

3 mois que je n’ai donné de nouvelles … la faute au COVID certainement. Cette affaire de COVID 19 m’a interpellé début janvier 2020, certains de mes informateurs favoris en parlaient déjà.

Ici au Costa Rica les premiers cas sont officiellement apparus vers le 15 mars 2020 et le pays a été aussitôt fermé.
Or moi je l’ai attrapé ici au Costa Rica ce foutu Covid 19 vers le 15 janvier, c’est bizarre, comment peut-on attraper une maladie qui n’existe pas encore localement ? Et pourtant … En janvier j’étais à Tamarindo pour terminer de rénover ma maison et en commencer une pour un client.
 
Tamarindo - Célèbre spot de SURF au Costa RivaA Tamarindo en janvier c’est chaque année la grande affluence, des gens du monde entier viennent profiter de « La Vague » et plus encore des bars, restaurants de plages et toutes les distractions qu’offre cette station balnéaire en vogue depuis des dizaines d’années.
L’âge aidant certainement, les enfants surtout, je ne sors quasiment plus donc j’ai certainement choppé le machin en faisant mes courses au supermarché le plus international de Tamarindo. Aurais-je par mégarde approché de trop près un chinois de Wuhan en goguette à Tamarindo ?

J’ai eu à peu près tous les symptômes qu’on connaît après tout ce temps (près de 8 mois quand même pour avoir une liste à peu près exhaustive des symptômes du Covid) y compris les difficultés respiratoires mais souffrant d’un mal qui n’existait pas encore je n’ai pas paniqué et j’ai donc évité l’hôpital. Comme quoi l’effet placebo fonctionne quand on souffre d’une maladie qui n’existe pas, il faut que je songe à publier un papier là-dessus dans The Lancet, je vais en parler à Didier.

Didier RAOULT - Notre sauveur !!Bien m’en a pris de ne pas me précipiter à l’hôpital donc car peut-être croyant bien faire (?) m’auraient-ils intubé et sans doute aurais-je alors fini mort ou légume comme la plupart des gens qu’on intube sauf peut-être les jeunes en bonne forme et tout musclés ce que je ne suis plus depuis que je me suis marié. Comme quoi …
C’est ça le gros truc de la Médecine Moderne, ils en font toujours trop et toi tu finis en sac plastique étanche mais au moins l’hôpital peut facturer à donf ce qui entretient le machin et l’usine à gaz peut fonctionner même en état d’obésité morbide, la médecine a fait beaucoup de progrès au vingtième siècle (je cite les citateurs).

Mais pas au Costa Rica, peu de moyens financiers donc par obligation une certaine efficacité, j’en ai parlé ICI.

2 mois de grosse-grosse fatigue donc et plusieurs mois de récupération dont j’émerge à peine en ce mois d’août 2020.

  • Me suis-je fais dépister ? Non car on ne peut pas se faire dépister d’un truc qui n’existe pas encore et dont pourtant on souffre.
  • Vais-je le faire : NON car quand tu as passé la Douane tu ne reviens pas ensuite en arrière pour déclarer tes 25 litres de vodka. Ou alors faut être vraiment con.

Dommages collatéraux :

  • Charlotte, 2 ans, quelques jours de toux sèche et … rien !
  • Marissa 7 ans, un peu plus d’une semaine de toux sèche et … rien !
  • Anna, 14 ans, près de 3 semaines de toux sèche et … rien !
  • Juan, mon employé, 35 ans, type athlétique, 2 ou 3 semaines de toux sèche, énorme fatigue qui le faisait tituber parfois sur le chantier et 1 mois ou 2 mois de récupération.
  • Yendry, 33 ans, celle qui partage ma vie : rien, rien de rien, je le lui dis souvent, le monde est profondément injuste ! Elle en convient avec son flegme de tica.

Sensation perso : un peu comme une grippe, en beaucoup moins fort (sauf les difficultés respiratoires) mais qui au lieu de durer une semaine dure 2 mois. J’ai donc pu travailler durant tout ce temps mais j’ai eu besoin de plages de repos très importantes.

Bizarre : bien qu’ayant de fortes présomptions sur la maladie qui nous a touché je n’ai pas mis à haute voix de nom dessus de peur qu’on me prenne pour un fou jusqu’à ce qu’une professionnelle de santé me confie qu’un collègue lui a parlé de cas présumés de Covid, à Tamarindo, en début de cette année 2020.

Donc j’ai personnellement ainsi que mon entourage proche souffert du Covid 19 et pourtant je ne crois absolument pas à tout le bazar qui est organisé autour de cela … Comment cela se peut-il, n’est-on pas face à une contradiction flagrante ???

Covid 19 au Cota Rica

Résumé :

  • Il s’agit d’un virus, sans doute créé en laboratoire. Qu’il soit « naturel » n’y change pas grand-chose pour la suite des évènements.
  • Virus relâché sans doute intentionnellement à Wuhan. Que ce soit par accident (échappé du labo) n’y change pas non plus grand-chose. Voir mes doutes exprimés dans le même blog le 20/03.
  • Les chiffres des morts du Covid (806.000 lorsque j’écris ces lignes) sont manifestement très exagérés.
  • La plupart des gens comptabilisés comme morts du Covid sont en réalité morts avec le Covid et non du Covid. Surtout les accidentés de la route, les faux positifs et les plus de 90 ans.

Qu’on soit bienpensant-bisounours-progressiste (le méchant virus est naturel et est passé de l’animal joli à l’homme avant d’infecter le monde entier) ou complotiste-survivaliste (des vilains méchants ont créé ce virus dans le but d’exterminer l’humanité toute entière SAUF Bill Gates) ça ne change pas grand-chose car au final voici concrètement ce qui se passe :

  • Les économies de pas mal de pays dans le monde sont en mode panique, beaucoup de gens, le secteur privé et informel surtout, ceux qui bossent donc, ont perdu leur emploi.
  • Il faudra des années pour revenir à l’état antérieur, sans doute même on n’y arrivera pas. Ce qui ne constitue pas un mal pour autant mais c’est un tout autre sujet. Et puis surtout cela dépend d’où on se place. Car pas besoin de 12 années d’étude pour le comprendre, il est plus facile de passer du diesel à l’électrique (pour sauver la planète tu comprends !!) que de diviser son bol de riz par 5. La pire difficulté est de faire comprendre cela un pauvre.

Le Covid 19 et la chute de l'éconmie mondialeEt tout ceci surtout répond à une question qui me taraudait depuis des années : comment se fait-il que les politiques ne prennent pas en compte les problématiques qu’on connaît pourtant depuis plus de 50 ans et qui s’accélèrent grandement : la pollution, la disparition annoncée du pétrole et moins d’énergie en général (Energie = PIB), la disparition avérée de la biodiversité, le changement climatique (!) dû à l’augmentation du CO2 d’origine humaine (?), la population en augmentation exponentielle, la consommation infinie dans un monde fini entraînant la baisse irréversible des ressources telles que eau, métaux …

Certains politiques n’ont pas la moindre idée de tout ça (on se demande comment), d’autres s’en contrefichent royalement, d’autres encore se persuadent à bon compte que la technologie va nous sauver.
C’est beau l’innocence, au mieux elle en sauvera quelque uns mais pas vous, surtout pas vous car VOUS êtes le problème et non la solution. Mais certains d’évidence SAVENT à quoi s’en tenir.

Et donc ce virus tombe vraiment à PIC pour commencer à régler par le bas ce que les gens d’en haut considère comme une priorité, la gestion des ressources terrestres.
Car à ce train-là, plus les gueux consomment et moins il en restera pour les non-gueux. Car étonnamment les gueux n’ont pas honte de consommer et moins en ils en ont plus ils en veulent, un comble quand on y pense bien !  ;-))
Pendant des siècles les gueux ont été nécessaires pour aider à la croissance économique, technique et tous les trucs en ique qui font que globalement c’est mieux de vivre en 2020 qu’en 1020. Pensez au dentisque par exemple mais pas que.
Désormais il y a trop de gueux, du moins par rapport aux ressources qui ne se renouvellent pas assez vite, la plupart pas du tout, les économistes ayant oublié d’y penser dans leurs calculs de PIB.

Donc merci le virus qui fait le boulot, bien repris à la volée par certains pays collaborateurs il faut bien le dire.

Bien entendu ce n’est qu’un début mais pour ménager le suspense, je ne vais pas en dire plus pour aujourd’hui. Sinon que c’est bien de trier ses déchets, trop cool, mais le VRAI truc pour « sauver la planète » (comprendre sauver uniquement« les non-gueux de la planète ») c’est par exemple diviser les revenus du français moyen par 5. Le salaire moyen à 300 € par exemple.
Ne riez pas (je plaisante), c’est très possible, je connais plein de gens autour de moi qui vivent comme ça. Avec ça je veux dire, 300 € par mois. A ce tarif-là on ne meurt pas de faim mais la vie est nettement moins drôle surtout quand on a été biberonné aux vols low cost et au shopping à New York.
Les gueux - Merci le Covid 19
Bon, on en reparlera, je ne veux pas non casser l’ambiance.

Note : pour les mal-comprenants, bizarrement il y en a plus qu’on ne le croie, je précise que je n’ai aucune opinion là-dessus, pour moi ce n’est ni bien ni mal, c’est comme ça et mon jeu à moi c’est uniquement de m’adapter.
Comprendre ce qui se passe pour survivre à tout ceci sans pour autant être certain d’y arriver. Mais au moins on aura essayé. L’esprit Coubertin QUOI. C’est pour rire les gueux, je déconne. Mais quand même, ce serait trop con de crever bêtement alors que contrairement aux bisounours tu as un peu pigé les règles du poker truqué. Mais quand même, c’est pas gagné …

Et le Costa Rica dans tout ça ? Il faut bien reconnaître que les politiques actuellement au pouvoir collaborent à tout ce cirque covidien mais que rien n’est moins sûr qu’ils durent. Car ici le confinement ça se traduit très rapidement par près de 30% de la population au chômage, des gens parfois même qui n’ont rien à manger …

Le point positif c’est que même si on voit encore beaucoup de gens seuls dans leur voiture avec un masque, les ticos et les ticas peu à peu se rendent compte de la supercherie et commencent à se rebiffer, quelques grosses claques commencent à se perdre de ci de là.
Certains maires de grandes agglomérations ont même déclaré les consignes de la présidence comme nulles et non avenues.
On tient donc ici le bon bout, quoi qu’il arrive par la suite.

Et comme je dis souvent aux fonctionnaires ou autres employés para-étatiques qui m’emmerdent pour rien, quelle plaie :

 - Toi mon gars (ou ma fille) tu retourneras bientôt au cul des vaches au lieu d’être vautré sur ta chaise derière ton guichet à bouffer de la merde !

et en mon fort intérieur, car je suis d'une rare bonté d'âme, je pense :

- Ce qui est un bien pour un mal car ça t’évitera à toi tico le cancer de la prostate et à toi tica (ça marche aussi pour tico) d’attraper un cul de camion, on en est déjà au stade de la camionnette, fais quand même un peu gaffe !

Vache et drapeau du Costa RicaCar le bon côté des choses au Costa Rica c’est que l’encivilisation (le contraire de l’ensauvagement bien connu en France, en Belgique et même depuis peu en Suisse) a eu lieu récemment, une génération tout au plus et donc si tout devait aller de mal en pis (de la vache), ce qui semble plus possible que l’inverse, les ticos et assimilés (comme moi) retourneraient très vite au cul des vaches car :

  1. Les gens d’ici savent reconnaître les vaches, ils en ont tous vu, ils ne les confondent pas avec les poneys
  2. Il y a encore des vaches
  3. Et donc des fermes (finca en espagnol)
  4. Et donc des gens, des fermiers (sales mais authentiques comme dirait le bisounours en vacances au Costa Rica) qui travaillent dans des fermes et qui n’ont pas oublié comment on fait

Donc à choisir, la question elle est vite répondue, je préfère être ici au Costa Rica dans ma finca ou même à la plage car quand les lumières commenceront à s’éteindre (sauf erreur ou omission, ça va être un peu long, on a le temps, je vous raconterai ...) on s’accrochera tous à la queue de la vache, on se laissera emporter et on sera tous sauvés !

Alléluia !!



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